Le nouveau gardien des sceaux François Bayrou (François Bayrou) s’est dit favorable à l’installation de brouilleur pour empêcher l’utilisation des téléphones portables dans les prisons. Cette technologie a été établie dans certaines installations et a été testée à plusieurs reprises. Il présente de nombreux avantages et de nombreux inconvénients. « Je suis favorable à ce que les saboteurs soient traduits en justice. » Comme Christiane Taubira et d’autres ministres de la justice en 2015, le nouveau gardien du sceau François Bayrou a répondu au phénomène du téléphone portable en prison sur BFMTV et RMC. Photos de supérieurs postées sur les réseaux sociaux, selfies de prisonniers dans des unités de piscine, photos de fumer de la marijuana… Bien que les autorités aient tenté de freiner cette pratique, ce problème persiste depuis plusieurs années.
Depuis 2002, cette loi autorise l’installation de brouilleur gsm de signaux dans les prisons. Ils peuvent empêcher les fréquences des téléphones portables d’entrer dans certaines zones, tandis que les modèles plus chers interfèrent avec des zones plus vastes. L’équipement de la taille d’une mallette vendu par l’entreprise peut couvrir un rayon d’environ 150 mètres, tandis que le modèle de la taille d’une cave peut garder la salle de conférence sans signal. Selon nos informations, il existe actuellement 804 dispositifs dans les prisons françaises. Problème : par rapport au développement des téléphones portables, cette technologie est généralement dépassée. Le ministère de la Justice prévoit 3 millions d’euros pour moderniser l’achat d’une nouvelle génération de brouilleur de téléphone mobiles. Mais il y a une condition. Selon une étude réalisée en janvier, les chercheurs de la NTIA ont installé un brouilleur de téléphone portable dans la salle de stockage à côté de la salle de stockage de 13 x 8 pieds au premier étage de la salle de stockage. Cette étude affirme qu’elle a réussi à bloquer les transmissions de téléphonie mobile dans la bande de fréquences commerciale entre 700 et 2170 MHz, mais si elle est surveillée à une distance de 20 pieds et 100 pieds du téléphone, elle n’interférera pas avec les transmissions commerciales. Cependant, selon la NTIA, des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer si la technologie constitue une menace potentielle pour les services sans fil sous licence commerciale en dehors des murs de la prison. Il y a encore quelques obstacles. L’agence a souligné que les résultats des tests ne concernent que leurs emplacements respectifs et que les résultats des autres établissements pénitentiaires varient considérablement.