干扰机

Mercredi, M. John Acton a témoigné lors d’une série d’auditions à la Chambre des représentants sur les besoins en infrastructures du pays. Deux amiraux adjoints de la Garde côtière et un fonctionnaire du Government Accountability Office ont également témoigné.

M. Action est un amiral de réserve à la retraite de l’USCG et un ancien directeur principal du Department of Homeland Security. Parmi ses autres fonctions, il est maintenant président de l’influent comité des affaires de la garde côtière de l’Union navale américaine.

La brève transcription suivante est un échange entre M. Acton, un membre senior du sous-comité, et l’amiral Ray, commandant adjoint du US Marine Corps.
Membre du Congrès Garamadi: M. Eloran Acton, nous pouvons parler. Q: D’après votre expérience avec le Department of Homeland Security et la Garde côtière, pensez-vous que le système eLoran peut aider à éliminer les problèmes de GPS?

M. ACTON: Oui, monsieur. Comme vous le savez, les systèmes GPS existent depuis un certain temps. C’est assez facile à détruire. Un petit brouilleur peut le faire. Presque tous les domaines techniques dépendent de plus en plus du système, mais nos adversaires ont des capacités de plus en plus puissantes pour perturber le système.

Par conséquent, de notre point de vue, le GPS est un point de défaillance unique pour bon nombre de nos infrastructures. Ce problème existe depuis de nombreuses années. Même si la Garde côtière ne doit pas diriger et ne peut pas diriger, je crois que c’est le Comité exécutif national du secrétaire aux Transports qui supervise le Comité exécutif du PNT spatial, mais la Garde côtière y joue un rôle de soutien clé. Par conséquent, en tant que point de défaillance unique, les gens savent depuis un certain temps que l’Alliance navale soutiendra l’avancement des procédures de sauvegarde telles que eLoran.

ONG Galamedi: Bien. Lors de notre réautorisation de la Garde côtière, nous avons en fait demandé au Département de la sécurité intérieure de traiter ce problème (désolé, le Département des transports) de traiter ce problème et de le mettre en œuvre en coopération avec la Garde côtière. C’est (inaudible).

Encore une chose, qui nous ramène à la question budgétaire globale. En fin de compte, la Garde côtière a fait cela, ou ils ont fait le système Loran, la question est de savoir s’ils ont la capacité de mettre en œuvre le système eLoran. La réponse est, bien sûr, s’ils ont de l’argent. Vraiment, amiral?

VICE AMIRAL RAY: Oui, monsieur. Avec les ressources nécessaires, nous avons effectué de nombreuses tâches au fil des ans.

ONG Galamedi: Donnez-nous de l’argent et vous pouvez le faire, non? c’est bon. J’ai battu ce tambour à plusieurs reprises, mais oui, il est à nouveau autorisé. Nous essaierons de nous assurer que l’argent est également là.